Le Collectif Citoyenneté française pour les harkis et l'Association Générations Harkis ont saisi la ministre délégué à la mémoire pour une mise en oeuvre de l'article 40 du Code de procédure pénale dans l'affaire des disparus du camp de harkis de Rivesaltes.

Une enquête pénale ouverte après les révélations sur les sépultures harkies du camp de Rivesaltes
Dans le cadre des révélations vendredi 21 février 2025 du maire de Rivesaltes, le parquet a ouvert une enquête pour « violation de sépulture ». En parallèle, l'association Génération Harkis demande à la ministre déléguée chargée de la Mémoire et des Anciens Combattants, Patricia Mirallès, de saisir le procureur de la République.
Samedi 15 février 2025 à 14h, la communauté harkie est convié à un rassemblement à Peyrolles-en-Provence pour faire aboutir les réflexions autour d'une réparation pour tous.
Après l'examen, en audience publique le 19 décembre 2024 des requêtes déposées par l'Association Génération harkis et une trentaine d'enfants de harkis contre le premier rapport de la Commission nationale d'indemnisation des harkis (CNIH), le Conseil d'Etat a rendu le 30 décembre 2024 son arrêt et rejeté les recours déposés en vue d'obtenir...
Le Conseil d'Etat examinera en audience publique le 19 décembre 2024 les recours en contestation de la légalité du contenu du rapport d'activité 2022 de la Commission nationale d'indemnisation des harkis, la fameuse CNIH.
Le Collectif citoyenneté française pour les harkis convoque une réunion de travail le 4 octobre 2024 à 18h à Amiens autour de la proposition de loi du 12 mai 2024 tendant à instituer une réparation pour tous du drame des harkis.
Jean-Marie BOCKEL, Président de la Commission nationale indépendante de reconnaissance et de réparation des préjudices subis par les harkis, les autres personnes rapatriées d'Algérie anciennement de statut civil de droit local et les membres de leurs familles (CNHI) instituée par la loi du 23 février 2022, démissionne de la président de la CNIH. Il...
Après la sévère condamnation de la France par la Cour européenne des droits de l'Homme le 4 avril 2024, l'Assemblée Nationale interroge le Ministre des Armées que le Gouvernement s'explique, notamment sur la loi du 23 février 2022 qui a été également condamné par les juges européens.